Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

bon voyage à l´apprentissage

Albums Photos
Archives
5 mai 2011

Vous pouvez pratiquer avec ces exercices la

Publicité
3 mai 2011

L'hymne national : La Marseillaise La

                        L'hymne national : La Marseillaise

ahymnerfancais 

 

 

La Marseillaise est reconnue comme hymne national de la République par la constitution française.

A l'origine,la Marseillaise était un chant patriotique. Elle a été écrite en 1792 par un officier français en poste à Strasbourg, Rouget de Lisle, suite à la déclaration de guerre à l'Autriche.

Reprise par les fédérés de Marseille qui rejoignent l'insurrection aux tuileries, elle symbolise alors le chant des insurgés de la Révolution française.

La Marseillaise devient le chant national le 14 juillet 1795. Elle sera ensuite interdite au début 19e siècle. Parmi les nombreux compositeurs qui se sont intéressés à ce texte, Berlioz lui consacrera un opéra en 1830. Elle sera finalement adoptée comme hymne national en 1887.

Le texte original comporte sept couplets. Le refrain et le premier couplet sont les plus connus et les plus repris.

1er couplet

Allons enfants de la Patrie, Le jour de gloire est arrivé !
Contre nous de la tyrannie, L'étendard sanglant est levé, (bis) Entendez-vous dans les campagnes Mugir ces féroces soldats ?
Ils viennent jusque dans vos bras Egorger vos fils et vos compagnes !

Refrain

Aux armes, citoyens, Formez vos bataillons, Marchons, marchons ! Qu'un sang impur Abreuve nos sillons !

Vocabulaire :

- Hymne : Chant

- Patriotique : En l'honneur de son pays

- Couplet : Paragraphe d'une chanson

3 mai 2011

Les symboles de la République : Le drapeau

Les symboles de la République : Le drapeau Français

 

bandera_francia_3Le drapeau tricolore " bleu, blanc, rouge " est reconnu comme l'emblèmenational de la République dans la constitution française.

 La réunion des trois couleurs est l'héritage de la Révolution française. Lors de la prise de la Bastille le 14 juillet 1789 par le peuple, on ajoute du blanc à la cocarde bleu et rouge que portaient les insurgés parisiens.

 Par la suite, les trois couleurs sont systématiquement utilisées ensemble. Le blanc, couleur du royaume de France, est entouré du bleu et du rouge, couleurs de la ville de Paris, pour symboliser l'unité.

Le drapeau tricolore devient l'emblème national.

Le drapeau français est placé sur la devanture des bâtiments publics

Vocabulaire :

 - Emblème : Symbole

 - Cocarde : Insigne

 - Devanture : Côté où se trouve la principale entrée d'un bâtiment

 

29 avril 2011

La devise de la République française : Liberté,

La devise de la République française : Liberté, Egalité, Fraternité

Les principes de " liberté, égalité, fraternité " constituent la devise de la

République et sont inscrits comme tel dans la constitution française.

Cette devise est un des héritages de la Révolution française. Elle trouve son origine dans la pensée des Lumières. Les révolutionnaires de 1789 se l'approprient et l'utilisent comme formule républicaine.

Elle est officiellement adoptée comme devise de la République à la fin du 19e siècle.

La liberté est définie par les Révolutionnaires dans la déclaration des droits de l'homme et du citoyen. Elle " consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui ".

L'égalité signifie que la loi est la même pour tous. Les distinctions de naissance ou de condition sont abolies par la Révolution. Les hommes doivent être traités de la même manière, avec la même dignité. Ils disposent des mêmes droits et sont soumis aux mêmes devoirs.

La fraternité se définit comme le lien moral qui doit exister entre les personnes. " Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité " précise l'article 1er de la déclaration des droits de l'homme de 1789.

La devise de la République est inscrite à l'entrée de tous les édifices publics (Mairies, Ecoles, lycées, administration...)

Le terme laïcité peut s'ajouter à cette devise comme un des grands principes républicains.

 

Vocabulaire :

- Nuit (verbe nuire) : Faire du mal

- Autrui : Aux autres

- Abolir : Mettre fin


 

25 avril 2011

LES PROPOSITIONS

I. Les propositions non dépendantes

Les propositions indépendantes : ce sont les propositions qui ne dépendent d’aucune autre et dont aucune autre ne dépend : Il pleut.

Les propositions principales : ce sont les propositions qui ne dépendent de rien mais dont dépend au moins une subordonnée : Je crains tout de même que cela l’impressionne trop.

II. Les propositions subordonnées

Les propositions subordonnées : elles dépendent d’une proposition principale. Une proposition subordonnée rectrice régit elle-même une subordonnée : La femme qui a vu l’homme qui était assis sur le banc.

Les subordonnées complétives

Les subordonnées complétives ne peuvent être effacées ou déplacées. Elles ont les fonctions du nom.

Les conjonctives pures :

introduites par « que » : Je souhaite que tu viennes.

introduites par « ce que » : Je m’attends à ce qu’il pleuve.

Les propositions interrogatives indirectes :

totales (toujours avec « si ») : J’ignore s’il viendra.partielles :

  • introduites par un déterminant interrogatif : Je me demande quelle heure il est.
  • introduites par un pronom interrogatif : Je ne sais pas qui est venu.
  • introduites par un adverbe interrogatif : J’ignore pourquoi il n’est pas venu.

Les propositions infinitives : J’entends les oiseaux chanter. (Fonction : complément d’objet direct)

Les subordonnées circonstancielles

Les subordonnées circonstancielles peuvent être effacées et déplacées. Les mots subordonnants peuvent être une conjonction de subordination (si, quand, lorsque, etc.), une locution conjonctive (dès que, afin que, etc.) ou que.

les circonstancielles temporelles : Quand je travaille, j’écoute de la musique.

es circonstancielles finales (ou « de but ») : Nous parlerons doucement de façon que vous puissiez

travailler.

les circonstancielles consécutives (ou « de conséquence ») : Elle parle si vite que personne ne la

comprend.

les circonstancielles causales : Il est allé au cinéma parce qu’il voulait absolument voir cette actrice

les circonstancielles concessives : Bien qu’il soit un orateur malhabile, il est écouté-

les circonstancielles comparatives : Pierre est plus courageux que son frère ne l’était.

les circonstancielles hypothétiques : Quand Alice serait milliardaire, je ne l’épouserais pas.

Autres cas

les propositions mixtes :

comparaison + hypothèse : Elle crie comme si on l’écorchait vive.

concession + hypothèse : Même si elle le disait, je ne la croirais pas.

la proposition participiale : Alice amoureuse, elle s’habilla mieux. Ou encore : Le chat parti, les souris dansent. La proposition participiale est une proposition non conjonctive : elle a la valeur d’une circonstancielle. Elle a un sujet propre, lequel est distinct de la proposition principale. La fonction du participe est centre de proposition dans la participiale.

Les subordonnées relatives

Les subordonnées relatives : elles sont introduites par un pronom relatif, lequel a un antécédent.

Les relatives adjectives (avec antécédent) :

déterminatives : Les enfants qui dormaient n’ont rien entendu.

explicatives : Les enfants, qui dormaient, n’ont rien entendu.

attributives : Je le vois qui sort.

Les relatives substantives (sans antécédent) :

Qui vivra verra. (sujet)

Je parle à qui me plaît. (complément d’objet indirect)

Autres cas

les propositions couplées (comparatives) : Tel père, tel fils.

la subordination inverse : Tu crierais qu’on ne t’entendrait pas. (= « Si tu criais… »)

la parataxe : Il a beau travailler sa grammaire, il ne réussit pas ses devoirs.

les tours d’extraction c’est qui / c’est que : C’est hier que j’ai rencontré Alice.

l’incise : Je viendrai, dit-il, dès que j’aurai fini de réviser ma grammaire.

etc.

Publicité
20 avril 2011

Le dialogue

- Tiens, bonjour Michel. Ça fait longtemps ! Ça va?

- Bonjour, Thierry. Oui, je ne vais pas trop mal. Je te remercie.

- Tu as l'air un peu fatigué.

- Oui, je sais, je n'ai pas trop bien dormi ces derniers jours.

- Ah bon? Tu as des soucis?

- Oh, oui un peu. Non, en fait, je vais plutôt mal. J'ai été licencié par Air France le mois dernier et en plus je pense que Joséphine ne m'aime plus.

- Pourquoi? Je pensais que les choses marchaient plutôt bien avec Joséphine?

- Ça fait plus d'un mois qu'elle m'évite. Elle ne me rappelle pas !

- Ah bon? Je suis désolée. Mais il ne faux pas te décourager. Tout cicatrise avec le temps.

- C'est pas si facile, je suis complètement démoralisé. J'ai l'impression que ma vie est nulle.

- Bon, je vais essayer de te remonter le moral : imagines que tu sois Louis XVI.

- Ah, intéressant, toutes les marquises et toutes les duchesses seraient à mes pieds ! Continue.

- On est en 1793, tu viens d'être condamné à la guillotine. On te conduit lentement vers l'échafaud, devant la foule excitée. Le scintillement de la lame aiguisée, t'éblouit. Les marches de la scène grincent sous tes pieds. Le bourreau te prend brusquement par le bras et te coince le cou dans l'engin meurtrier. Tu penses à tous ces fabuleux bals masqués ainsi qu'au luxe de ton palais. Tu te souviens des charmantes promenades matinales dans tes jardins en compagnie des courtisans. Soudain, tu entends un déclic et le bruit d'un poids qui tombe. Puis, plus rien, tout est fini.

- Je te remercie de m'avoir fait vivre une mort atroce en plus de ma tragédie personnelle ! Je me sens beaucoup mieux !

- Mais tu ne comprends pas, tu es vivant. C'est ça le plus important ! Et tu as tout ce qu'il te faut : amis, de quoi manger, et tu es en bonne santé. Tu focalises trop sur ce qui ne marche pas et tu oublies trop ce qui va bien dans ta vie.

- Peut-être tu as raison, je vais essayer !

Publicité
Publicité